Welcome to Chiara!

Hi everyone,

My name is Chiara and I will be starting my PhD in the Reymond and Kutalik labs in March 2020.

Before joining the Unil, I studied biology at the ETH Zürich, where I obtained my Bachelor degree in 2017 and my Master degree in 2019. During my Master, I worked on 4 different research projects at the EPFL and ETHZ before moving to Princeton University to complete my Master thesis in Coleen Murphy’s lab. There, I studied the role of novel Alzheimer’s disease genes in short-term memory, using C. elegans as a model organism.

During the next couple of years, I look forward to working on improving our understanding of natural genetic diversity and its impact on health and evolution.

PLoS Biol.; Group Reymond

Phenotypic Consequences of Copy Number Variation: Insights from Smith-Magenis and Potocki-Lupski Syndrome Mouse Models

Guénola Ricard, Jessica Molina, Jacqueline Chrast, Wenli Gu, Nele Gheldof, Sylvain Pradervand, Frédéric Schütz, Juan I. Young, James R. Lupski, Alexandre Reymond, and Katherina Walz
PLoS Biol. 2010 November; 8(11): e1000543. Published online 2010 November 23. doi: 10.1371/journal.pbio.1000543.
PMCID: PMC2990707

A.Reymond got a “fonds Sinergia”

Nouveaux fonds FNS attribués à des chercheurs UNIL

14.09.2010

Sinergia
Avec Sinergia, le FNS soutient des projets en réseaux dans le domaine de la recherche libre. Les groupes de chercheurs impliqués souhaitent réaliser des avancées importantes dans de nouveaux domaines de recherche – aussi bien dans un même domaine de spécialisation qu’à des projets interdisciplinaires – et/ou se maintenir dans le haut du classement de la recherche internationale. Sous certaines conditions, un des groupes de recherche peut se situer en dehors de Suisse.

  • M. le Professeur Alexandre REYMOND
    “The 16p11.2 rearrangements: genetic paradigms for obesity and neurodevelopmental disorders”
  • Mme la Professeure Serena ROMANO
    “Constructing identity: visual, spatial, and literary cultures in Lombardy, 14th to 16th centuries”

With Sinergia, the Swiss National Science Foundation (SNSF) aims to make collaborative projects in independent research possible. Funding will be given to interconnected projects consisting of at least 3 to a maximum of 6 research groups. The groups will jointly tackle a proposed topic which taps into a very promising new area of research and/or is at the cutting-edge of international research. The programme is geared towards research teams working within one discipline as well as for interdisciplinary projects.

A.Reymond & H.Kaessmann in Rapport annuel 2009 CHUV

Ce qui fait notre différence?

Une interview d’Alexandre Reymond et Henrik Kaessmann dans le rapport annuel du CHUV.

CE QUI FAITNOTRE DIFFÉRENCE?
— Au sein d’une même espèce, chez l’hommeou la souris, chaque individu est différent. Ondécouvre maintenant qu’une part importante deces variations est due à des régions instables dugénome, les CNVs (Copy Number Variant). Ces frag-ments ont la particularité de se dupliquer à des de-grés différents selon les individus. Ils peuvent êtreprésents en une seule copie chez Paul, en plusieurscopies chez Pierre ou être absents chez Jean.
— Pour étudier comment les CNVs influencent lephénotype, les équipes des professeurs AlexandreReymond et Henrik Kaessmann, du Centre inté-gratif de génomique de l’UNIL, ont d’abord cata-logué ces régions chez la souris. Ils ont ensuiteexaminé quelle influence le nombre de copies desCNVs avait sur l’expression des gènes et vérifier larelation entre le nombre de copies de chaque CNVet la quantité de protéines produite par les gènesqu’il contient. Mais ils ont aussi constaté avecsurprise que les gènes situés à proximité des CNVs,mais sans en faire partie, subissent également leurinfluence. Ainsi des gènes rigoureusement iden-tiques en forme et en nombre peuvent produire desquantités différentes de protéines, uniquement enfonction du nombre de copies d’un CNV voisin.
— Les CNVs influencent ainsi l’expressiond’un nombre conséquent de gènes mais attention:pas n’importe lesquels. Les chercheurs ont en effetégalement démontré que les gènes contenus dansles CNVs ne s’expriment généralement que dans unnombre limité de tissus et ont donc vraisemblable-ment un rôle spécifique et limité. Mieux: les gènesimportants pour le fonctionnement du cerveaune se situent que très rarement dans les CNVs et,si certains s’y trouvent, ils sont en dépit du nombrevariable de copies présentes, réduit à une expres-sion sous contrôle qui ne varie pas d’un individuà un autre.
— Les multiples résultats de cette étudeont été publiés en mars 2009 dans la revueNature Genetics.
Alexandre Reymond et Henrik Kaessmann