MédecineLes chercheurs ont mis en lumière comment la privation de sommeil affecte les différents systèmes de l’organisme.
Les scientifiques ont utilisé la méthode dite de la «génétique des systèmes», a indiqué vendredi l’UNIL dans un communiqué. Le but est de tirer des déductions sur certains phénomènes biologiques en liant de multiples niveaux d’information.
Les variations génomiques constituent le niveau principal, qui peut être complété par d’autres niveaux tels que les phénotypes – l’ensemble des traits observables d’un organisme -, ou encore le niveau d’expression des gènes et les métabolites.
«La génétique des systèmes permet d’avoir une vue globale et interconnectée de nombreux phénomènes», explique Paul Franken, professeur associé au Centre intégratif de génomique (CIG) de l’UNIL et directeur de cette étude publiée dans la revue PLOS Biology.
«Elle est par conséquent considérée comme une approche très prometteuse pour mieux prédire et comprendre certaines prédispositions à des maladies», poursuit le spécialiste, cité dans le communiqué.
Communiqué de presse: https://news.unil.ch/display/1533718551251
Publication: http://www.genomyx.ch/plos-biol-auth-group-franken-and-i-xenarios/
24heures.ch: https://www.24heures.ch/suisse/Des-chercheurs-de-l-UNIL-decryptent-le-sommeil–/story/11055989
Tribunedegeneve.ch: https://www.tdg.ch/news/news/chercheurs-unil-decryptent-sommeil/story/11055989
LeMatin.ch: https://www.lematin.ch/suisse/Des-chercheurs-de-l-UNIL-decryptent-le-sommeil–/story/11055989
L’information a également été reprise dans les médias suivants: 20minutes.ch; Swissinfo.ch; Radio Fréquence Jura; Radio Neuchâteloise; Radio Jura Bernois; La Liberté; Le Courrier; ATS; SDA